Pourquoi faudrait-il s’exiler au moment de mourir ?
Lorsqu’on vit dans un village ou une communauté dans laquelle on se sent bien, dans laquelle on a tissé des liens, là où vivent nos amis, là où on a élevé notre famille, dans la paroisse où on s’est marié, pourquoi au moment de notre décès, serions-nous obligés d’en être déracinés ?